4 prétendants pour la direction du PS

Parisot pas précaire

Raffarin ramène Fillon et Copé à la raison

Les deux opposants pour la présidence de l'UMP, complètement caramélisés dans les sondages, ont fini par entendre raison avec Raffarin. Ils ont convenu de partager collégialement la direction du parti jusqu'à la rentrée de septembre, où aura lieu un nouveau vote.

 

Bernard Accoyer de retour d'une mission de bons offices auprès de Copé

Bernard Accoyer a tenté à son tour une mission intermédiaire auprès de Jean-François Copé dans la crise qui secoue l'UMP pour sa présidence. Il a proposé un vote des députés et des sénateurs UMP, pour savoir s'il faudrait revoter. Présumant que ces derniers seront acquis à l'idée d'un nouveau vote, Copé a refusé net. Il joue habilement la montre, et propose seulement de faire des nouvelles propositions à la rentrée en janvier.

L'UMP tient son nouveau chef dans des conditions fratricides

2/2. Copé, le candidat qui peut faire un fromage de tout

Face au candidat Fillon, fort de ses 5 ans de mollesse sous Sarkozy, voici le Copé de Meaux, un fromage à croûte blanche et à pâte blanche, qui à l'air ferme au premier abord, mais qui se montre en fait assez coulant sur l'expérience gouvernementale.

1/2. Entre trop mou ou pas assez coulant, l'UMP réachalande son épicerie

En pleine course pour la présidence de l'UMP, deux styles s'opposent: le Fillon mollasson, qui se veut rassembleur, et le Copé hargneux qui épouse le style fracassant de Sarkozy. Mais tous les deux ont un point commun: 5 ans d'inactivité! 

Duel Copé - Fillon : des miettes pour relief!

Le représentant en assurance Xavier Bertrand retrouve ses réflexes professionnels pour sa candidature à la tête de l'UMP

Estrosi, sarkoziste historique, se range derrière Fillon pour la présidence de l'UMP

Copé se présente dans les pas de Sarkozy à la présidence de l'UMP

NKM dans le bain pour la présidence de l'UMP

Fillon en course pour la présidence de l'UMP

Les écologistes déçus de l'assemblée Nationale

Cohn-Bendit soutient sans ambiguïté Joly pour la présidence